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Quel instrument à vent choisir ? Suivez le guide !
Aujourd’hui, vous êtes bien décidé à commencer à jouer d’un instrument à vent car vous aimez leurs sonorités variées et attrayantes très séduisantes à vos oreilles. C’est une excellente idée ! Cependant, même si vous sentez que vous êtes prêt à vous lancer, vous aimeriez d’abord y voir plus clair, pour être sûr de faire le bon choix. Une précaution légitime quand on craint de se tromper, pour diverses raisons. Par conséquent, se poser certaines questions avant tout achat, pour être sûr d’atteindre le résultat espéré, n’est jamais du temps perdu. En effet, cela peut vous éviter un faux pas, une décision malencontreuse, que vous risqueriez ensuite de regretter. Voici donc quelques renseignements très utiles avant de vous lancer dans la belle aventure des instruments à vent. Grâce à ces précisions, vous aurez clairement en tête toutes les connaissances de base, pour éviter de nombreux écueils ! Entre autres, ce guide simple, préventif et éclairant vous aidera à adapter vos futurs choix au budget dont vous disposez.
Tout d’abord, avant d’aller plus loin, il est sans doute utile de définir ce qu’est un instrument à vent. Cela, de façon simple. En fait, par convention, on inclut dans cette catégorie tout instrument qui produit des sons grâce à des vibrations provenant d’une colonne d’air. En pratique, celle-ci peut être générée de deux façons : soit par le souffle du musicien - par exemple un saxophoniste -, soit par un système mécanique, lui aussi capable de produire un souffle. Dans les instruments courants, c’est ce second moyen qui permet à un accordéon ou à un orgue, quand il n’est pas électronique, de sonner. En clair, dès qu’une colonne d’air est à la source d’une note, il s’agit du résultat produit par un instrument à vent. Particulièrement ancienne, cette catégorie d’instruments est très vaste. De plus, elle utilise des matériaux très variés, parmi lesquels les plus fréquents sont le métal et le bois, voire parfois le plastique. Il faut savoir qu’on classe les instruments à vent en fonction de leur mode de production sonore, et non à partir de la matière servant à les fabriquer. Ce qui peut parfois prêter à confusion.
Quels sont les différents types d'instruments à vent ?
Les bois
Attention, comme nous venons de l’exprimer et pour ne pas se tromper, il est nécessaire de savoir que les deux principales catégories dans lesquelles on range les instruments à vent ne dépendent pas de la matière dans lesquels ils sont conçus. Ce point est important à préciser, car cela entraîne des erreurs très fréquentes au sein du public. En effet, on croit parfois qu’un saxophone se range parmi les cuivres, étant donné son aspect en métal. Or, il appartient à la famille des bois ! Cela est dû au fait que son bec, pour fonctionner, doit être muni d’une anche, elle-même forcément en bois. En fait, ce terme d’anche désigne un petit morceau de roseau taillé en biseau. Celui-ci doit être placé sur le bec, puis être fermement maintenu par une bague. Sans cette partie boisée, un saxophone ne produirait aucun son ! Ce qui explique que cet instrument soit classé dans la catégorie des bois, même si cela peut surprendre. De même, la flûte traversière, pourtant elle aussi en métal, a besoin d’un biseau dans son embouchure pour pouvoir vibrer. Cela place donc la flûte également dans les bois. Par ailleurs, dans cette catégorie, on trouve aussi des instruments à simple ou double anche. Notamment, la clarinette, le hautbois et le basson. Sans oublier l’harmonica ou encore l’accordéon, bien que les anches métalliques de ce dernier soient alimentées par un soufflet tout en restant invisibles.
Les cuivres
À la différence des bois, la famille des cuivres a pour caractéristique de concerner des instruments dont les notes qui sont produites proviennent directement des lèvres du musicien qui en joue. Cela, à partir d’un embout métallique. Parmi eux, on trouve le plus souvent la trompette, le trombone (à coulisse ou à pistons), le cor, le tuba ou encore le cornet. Plus étonnant, il faut aussi inclure dans cette catégorie le traditionnel et ancestral didjeridoo, dont se servent les aborigènes depuis des siècles. Ce qui peut surprendre puisqu’il est intégralement taillé dans du bois !
Choisir un instrument à vent alto ou ténor ?
La principale différence entre un instrument alto et ténor, comme dans la gamme des saxophones, se situe au niveau de sa taille, qui peut être plus ou moins grande. Cette caractéristique est donc visible à l’œil nu. Ainsi, la longueur est plus modeste pour l’alto et plus importante pour le ténor. Cela entraîne à la fois une différence de poids et de registre sonore auquel ils sont destinés. Autrement dit, ces deux saxophones permettent de jouer plus ou moins grave. L’une des caractéristiques de l’alto est aussi d’être le plus léger des deux. Ce paramètre est à considérer lorsqu’on est soi-même de petit gabarit. Parmi les nombreux choix possibles pour un premier achat, le saxophone alto SML Paris A300 en Mi bémol s’adresse tout particulièrement aux débutants. Outre son tarif très accessible, il possède de nombreux atouts. Il est léger, d’une finition vernie très réussie, et les notes qu’il produit sont faciles à obtenir. De plus, son ergonomie a été étudiée pour convenir aux petites mains. Enfin, son prix inclut des accessoires dont un bec, un couvre-bec, un étui et une ligature. Dernier détail, et non des moindres, les saxophones SML Paris sont tous contrôlés et réglés avant d’être mis en vente. Ainsi, seuls de simples réglages de confort sont nécessaires avant d’en jouer. Également proposé à un prix avantageux, sans rogner sur la qualité, le saxophone ténor SML Paris T420-II en Si bémol a tout pour convaincre un débutant qui préfère le registre onctueux du ténor. Très adapté au jazz ou au rock, ce saxophone offre de belles sonorités chaudes et une grande facilité de jeu. Sa fabrication sérieuse évite de nombreux tracas, que l’on subit parfois avec certaines marques pour petit budget. Par ailleurs, comme le veut la marque SML Paris, ce ténor est fourni avec un kit complet d’accessoires BG. À savoir, une ligature Flex, un cordon, un écouvillon, un chiffon, un sèche-tampons et des protège-becs. Ainsi, aucun frais supplémentaire n’est nécessaire après son acquisition !
Quel instrument à vent choisir pour bien débuter ?
En dehors de l’attirance que l’on ressent spontanément pour une sonorité particulière, avant de se décider pour un instrument à vent, l’âge et la morphologie sont évidemment des critères à prendre en compte. Ainsi, en toute logique, pour un enfant très jeune, ce serait une erreur de choisir un instrument lourd ou de grande taille si l’on veut qu’il se sente à l’aise avec. Par conséquent, un imposant saxophone baryton ou une clarinette basse, aux sonorités pourtant très amples et prenantes, ne conviendront pas à une personne menue ou qui pourrait avoir du mal à supporter longtemps un poids conséquent autour du cou.
Faut-il avoir du souffle ?
Bien que le souffle soit l’élément essentiel qui permette d’obtenir un son avec un instrument à vent, il ne faut pas non plus posséder des capacités respiratoires hors du commun pour en jouer. Pour preuve, certains médecins utilisent même ces instruments à des fins thérapeutiques, afin de soigner des problèmes respiratoires. Y compris l’asthme ! Ce qui prouve que la pratique de ces instruments n’est absolument pas réservée à des athlètes de haut niveau, loin de là ! D’ailleurs, tout professeur sérieux commence par enseigner aux débutants qu’il faut apprendre à contrôler son souffle et non à l’amplifier. Une bonne approche n’a donc rien à voir avec une recherche de puissance. Ainsi, c’est en acquérant une respiration régulière et continue que l’on obtient les meilleurs résultats. De cette manière, on développe progressivement une belle sonorité, qui s’améliorera encore avec le temps. Surtout si l’on sait en plus bonifier son souffle en apprenant comment mobiliser tout son corps. Ensuite, le véritable enjeu sera de maîtriser de façon harmonieuse l’air dont on se sert. Sans pour autant s’évertuer à souffler dans son embouchure ou son bec avec une force titanesque !
À quel âge un enfant peut-il commencer à jouer d’un instrument à vent ?
Généralement, l’expérience démontre que l’âge de six ans, voire de cinq ans si un enfant est déjà bien développé, est le minimum pour commencer une pratique musicale régulière. Toutefois, il faudra prendre en considération la taille, le poids et l’effort qu’implique l’instrument choisi, d’autant plus si celui-ci est d’un prix conséquent dans son investissement. Par exemple, même si l’accordéon est un instrument assez lourd, on peut le choisir volontairement de taille réduite, afin qu’il soit adapté à un petit gabarit. En ne perdant jamais de vue que le confort de l’élève restera un point essentiel. Par ailleurs, si un enfant souhaite s’initier à la trompette ou au bugle, pour ses débuts, on peut l’orienter vers le cornet à pistons. En effet, sa taille réduite facilitera le jeu. Sous réserve que la poussée des dents soit déjà stabilisée. Pour la même raison, le trombone à coulisse nécessite d’attendre plutôt l’âge de 7 à 8 ans, également à cause de l’avancée de la pousse des dents. Autre choix possible, la flûte traversière est un instrument léger qui convient à de nombreuses morphologies. De plus, en cas de petite taille, il faut savoir qu’il existe des flûtes à têtes courbes. Par ailleurs, on trouve même des modèles conçus exprès pour les petites mains. Si l’on se tourne vers la clarinette, on peut également proposer à un jeune élève de commencer sur une clarinette en Ut, car elle a l’avantage d’être plus courte que la version en Si bémol. Elle est donc plus facile pour placer les doigts et nécessite aussi moins de souffle. Toutefois, concernant l’étude de cet instrument, si un enfant veut l’apprendre au moment où il a perdu ses incisives, il vaudra mieux attendre un peu.
Débuter sans se tromper
En cas de doute, et avant tout achat d’un instrument à vent, inscrire un enfant débutant à un cours d’essai aidera à éliminer de nombreuses interrogations. En principe, lorsqu’un jeune veut jouer du saxophone, la grande variété des tailles disponibles permet de commencer cette pratique dès l’âge de six ans, simplement en choisissant un instrument adapté. Notamment, pour les petits, avec un soprano courbe. De manière générale, la pratique de la totalité des instruments à vent, hormis la trompette, plus exigeante, a l‘avantage d’être d’un abord ludique. Cela, dans quasiment tous les styles musicaux. Il faut donc profiter du fait qu’ils sont d’un accès facile et ne pas hésiter à encourager un enfant à se lancer. Contrairement, par exemple, au violon, avec lequel il vaudra mieux être plus prudent et s’assurer que la motivation est forte.
Quel choix pour un débutant adulte ?
Concernant les adultes, aucune contrainte n’existe vraiment, avant de commencer à apprendre à jouer d’un instrument à vent. D’ailleurs, même si l’on éprouve certaines difficultés respiratoires, cette pratique instrumentale peut se révéler très bénéfique. Le seul paramètre à considérer en priorité, tout comme chez l’enfant, étant le confort qu’on éprouve en jouant. Celui-ci étant toujours lié à la morphologie, qui doit guider un choix censé et raisonnable. Cependant, sans jamais oublier le plaisir qu’on éprouve en jouant ! Y compris avec un instrument aussi imposant que le tuba, avec lequel on peut aussi ressentir un vrai confort de jeu. Et avec lequel on peut, si l’on en a envie, jouer du jazz et même du rock !
Harmonica et clarinette, des instruments parfaits pour s'initier
Parfait pour les débutants, l’harmonica est connu pour être d’un accès immédiat. De plus, il a l’avantage d’avoir une taille réduite, qui permet de le rentrer dans presque toutes les poches. Cependant, un détail à connaître : les modèles diatoniques sont beaucoup plus simples à maîtriser que les harmonicas chromatiques. Ces derniers ayant été notamment popularisés par l’excellent Stevie Wonder. À l’inverse, très utilisé dans le blues, l’harmonica diatonique constitue un excellent premier choix. De plus, il ne ruinera pas celles et ceux qui veulent s’y initier car il coûte à peine plus d’une cinquantaine d’euros. Par exemple, dans cette gamme, on peut citer le sympathique harmonica Vox Type-2 Continental en Ré, d’un rouge incontournable. Il possède un corps en fibre de bois naturelle et en résine. Cet assemblage est un gage de durabilité. En plus, cet harmonica délivre des notes puissantes, rondes et précises, idéales pour jouer du blues ou du rock. Si l’on souhaite aborder un tout autre répertoire, plus varié et plus large, selon de nombreux professeurs, dans les instruments à vent qui sont faciles d’accès on peut opter pour la clarinette. En effet, son apprentissage a la réputation d’être aisé. Pour commencer dans de bonnes conditions, on peut notamment se laisser tenter par cette clarinette d’étude en Si bémol, toujours de la marque SML Paris, la CL 400. Véritable référence dans son domaine, elle offre une qualité de fabrication étonnante pour un prix très maîtrisé, aux alentours de 250 €. Issu de la série PRIME, cet instrument en résine est à la fois léger, solide et d’une excellente justesse. De plus, elle est vendue en étui avec un bon bec et une ligature.
L'instrument à vent le plus facile à apprendre
Parmi les instruments à vent connus comme très faciles à apprendre, on trouve en tête de liste le flageolet. De conception rudimentaire, on l’appelle aussi le tin whistle. Il est notamment très présent et caractéristique dans la musique traditionnelle irlandaise. Cette flûte à six trous fonctionne de la même façon qu’une flûte à bec, instrument que de nombreux adolescents découvrent souvent à l’école. Le flageolet a l’avantage de permettre de jouer rapidement d’agréables mélodies sans être obligé de s’exercer dessus pendant des heures. Ainsi, pour une bouchée de pain, on peut acquérir ce très bon modèle de flûte traditionnelle Folk en Do en laiton. En plus, il ne coûte même pas dix euros !
Choisir un instrument à vent adapté à un style de musique
Un constat s’impose, dès qu’on analyse l’histoire de l’ensemble des instruments à vent : la majorité d’entre eux a superbement su s’imposer et se maintenir à travers toutes les époques. Il est donc normal de les retrouver aujourd’hui en très bonne place dans quasiment tous les styles de musiques. En fait, dans tous les répertoires. Tout d’abord, évidemment dans le jazz, où la trompette et les saxophones ont progressivement gagné un respect amplement mérité. Cependant, ces instruments sont aussi très présents dans le rock, le funk, le reggae, ou encore la salsa. En effet, ils tiennent dans ces styles musicaux une place majeure, en raison de l’importance qu’ils donnent aux pupitres de cuivres. C’est aussi le cas dans le classique, dans lequel les instruments à vent occupent, là encore, une place irremplaçable. Moralité, la question de savoir au préalable si un instrument à vent est adapté à un style de musique est finalement secondaire, puisque toutes les musiques modernes et le classique utilisent aujourd’hui cette famille d’instruments. De surcroît, sous des formes très variées. Par conséquent, mieux vaut surtout faire confiance à ses oreilles, et surtout bien se renseigner sur l’instrument dont la sonorité vous séduit le plus. C’est le premier critère à retenir. En résumé, il ne faut pas limiter ses choix à un genre trop précis. En se basant seulement sur son histoire, ou sur le style musical où il est le plus fréquent. Pour preuve, la flûte traversière, d’abord fermement implantée dans les orchestres symphoniques, a aussi réussi à s’imposer dans le répertoire rock. Par exemple, dans le célèbre groupe Jethro Tull. À l’inverse, alors que le saxophone a acquis ses lettres de noblesse dans le jazz, il occupe désormais une place enviable dans le répertoire classique. Par conséquent, mieux vaut aborder l’étude des instruments à vent sans a priori. En tous cas, sans se limiter au moment de l’achat en suivant une idée préconçue. Bref, il faut surtout faire confiance à la polyvalence que permet un instrument pleinement utilisé et à toutes ses capacités d’expression.
Les instruments du jazz, du blues et du rock
Ces trois genres musicaux respectifs, aisément identifiables, utilisent depuis des années de nombreux instruments à vent en commun. Parmi lesquels on trouve en priorité les saxophones, utilisés dans divers registres. Ainsi, l’alto et le ténor sont majoritairement présents dans ces trois styles, même si l’on s’en sert de façons différentes. Cependant, le jazz a vite intégré des sons plus extrêmes que le rock et le blues. Cela lui a rapidement fait adopter le saxophone soprano, à l’étendue particulièrement aiguë. Pour celles et ceux qui seraient attirés par cet instrument à la voix incisive, elles/ils pourront se tourner vers le très bon modèle d’étude fabriqué par SML Paris S620-II. Ce saxo soprano droit en Si bémol possède tout ce qu’il faut pour contenter les débutants. Cela, pour à peine plus de 600 euros. En plus, d’origine, il est livré avec deux bocaux. À l’opposé des hauteurs atteintes par le soprano, le jazz a aussi fait une belle place au saxophone baryton, popularisé par Gerry Mulligan. Cet instrument délivre de somptueux graves, mais il faut savoir qu’il ne conviendra pas aux débutants de petites tailles, à cause de son volume.
Des frontières élastiques
Malgré les différences stylistiques évidentes qui existent entre le jazz, le rock et le blues, on doit garder à l’esprit que les frontières qui séparent de nombreux instruments à vent sont en fait assez minces. Par conséquent, des instruments identiques peuvent souvent convenir à ces trois genres, pas si opposés. La vraie différence à retenir étant surtout la façon dont on saura jouer.
Les instruments à vent dans un orchestre classique
Parce qu’ils occupent à la fois la place des bois et des cuivres, les instruments à vent représentent la quatrième grande famille d’instruments au sein d’un orchestre symphonique. Résultat, comme pour le violon et le piano, les compositeurs classiques, jusqu’aux plus contemporains, ont dédié à ces instruments de nombreuses pièces et passages emblématiques. Depuis, ces partitions reconnues continuent de fournir un répertoire superbe, souvent très noble. Parmi les instruments les plus connus, on citera la flûte traversière, le saxophone, la clarinette, parfois la clarinette basse, le hautbois, le basson et le cor. Réunies tous ensemble depuis des décennies, leurs sonorités caractéristiques occupent une large place dans l’inspiration de multiples grands compositeurs, qui ont tenu à les mettre à l’honneur. Entre autres, chez Mozart, dans son fameux « Concerto pour flûte et harpe », ou chez Prokofiev, avec son célèbre thème de hautbois, incarnant le canard dans « Pierre et le Loup ». On peut aussi citer Beethoven, qui a consacré dans sa Symphonie no 3, dite « Heroïque », un magnifique passage au cor d’harmonie.
La bonne nouvelle, c’est que chacun de ces instruments devenus populaires existe dans une excellente version pour débutant. Donc, à un prix très doux. Ainsi, pour la flûte traversière, on peut faire confiance au modèle conçu par la marque Jupiter, notamment la flûte traversière pour débutant JFL700R, en Do. Mécaniquement très fiable, cette flûte bénéficie de l’expertise de la marque. Celle-ci s’appuie sur un savoir-faire qui a déjà largement fait ses preuves au niveau mondial. Pour les cornistes, le cor SML Paris en Si bémol, conçu pour les petites mains, est un très bon premier choix le CH40B-II. D’ailleurs, on peut entendre ce modèle dans de nombreuses musiques de films. Enfin, pour commencer le trombone à coulisse, on peut à nouveau faire confiance à la marque Jupiter. Celle-ci propose son excellent modèle de trombone ténor JTB730Q en Si bémol. Un instrument sans fioriture mais au rendu sonore très efficace. Comme on le voit, le classique n’a absolument rien à envier aux musiques modernes en matière d’instruments à vent. Surtout lorsqu’il leur donne l’occasion de s’exprimer et de briller.